Notre histoire

, par Alexis Labeille

<modale1|article=72|titre= >
<conteneur12|debut><contenu1|debut><contenu1|fin><contenu4|debut|class=bsNoteTexte>← Pour voir nos origines, c’est par ici !<contenu4|fin><conteneur12|fin>

<conteneur12|debut|principal|centrer=oui>
<cartevisite|dans=contenu8|bib=esicon|nom=es-man|options=fa-4x|texte={{ECOSTRATEGIE est fondée le 1er Décembre 2008 par Odile Verdure et Joëlle Brard.}}>
<conteneur12|fin>

Statutairement prévue pour être une coopérative [1], ECOSTRATEGIE se munit d’un local à Toulouse, d’un logo, d’un site web. En 2009, l’entreprise trouve des clients dans la métropole et dans les hôtels de luxe. Notamment, le groupe Privilège recommandera ECOSTRATEGIE dans le secteur hôtelier, ce qui confortera l’entreprise dans l’idée d’une stratégie de réseau « par le faire ».

ECOSTRATEGIE, fidèle à ses racines, participe notamment à l’organisation des deux éditions du Festival des Musiques de l’Âme [2] suivant sa fondation. En particulier, ECOSTRATEGIE y appliquera la méthodologie The Natural Step pour proposer des modes de gestion originaux des aspects environnementaux et sociaux de l’événement, notamment les déchets et la logistique.

En 2010, ECOSTRATEGIE réduit la voilure [3], se passe de son local et se restructure en une SARL familiale. A l’inverse du Festival des Musiques de l’Âme, ces décisions assurent sa pérennité [4]

En 2014 et 2015, Odile Verdure fait deux missions de 6 mois au Ministère de l’Économie à Paris, l’éloignant temporairement de son réseau toulousain.

En 2016, ECOSTRATEGIE suit sa gérante et se réimplante à Sète. Le site web est complètement refait, les schémas sont repensés, et une approche persona est appliquée : par l’onglet «  Votre Profil », les visiteurs ont une expérience différente en fonction de s’ils se présentent comme une startup, un élu, un hôtel, un organisme de formation

En 2018, l’entreprise se réimplante à Bordeaux près de l’INSEECOdile Verdure assure plusieurs enseignements ainsi que l’organisation de la Green Business Week. Parallèlement, sa gérante s’installe à l’autre bout de la France, pour tenter de viser une nouvelle clientèle dans la Plastic Valley. Cela s’avère difficile, entre la crise sanitaire et la réticence des entreprises de l’Ain à adopter des stratégies RSE?.

Fin 2021, ECOSTRATEGIE prend un apprenti en alternance pour 2 ans, afin de relancer dès 2022 la partie conseil. Cela donne l’occasion en interne de se repencher sur le DUERP, de toucher de nouveaux clients, de formaliser et mieux communiquer la RSE? d’ECOSTRATEGIE.

Notes

[1Le titre de coopérative est « interdit » à ECOSTRATEGIE en 2009 par manque de vision de l’animatrice du réseau des SCOOP de l’époque, au motif que le conseil en développement durable n’était pas un secteur capable de générer une activité bénéficiaire. Deux ans plus tard, d’autres cabinets de conseil se sont créés en SCOP à Toulouse.

[2La troisième édition du festival est malheureusement la dernière car des décisions démocratiques sont prises contre l’avis du bureau et notamment de Joëlle et Odile. Il est en effet décidé de doubler d’un coup le nombre de villages accueillant le festival, ce qui le fait grossir trop vite au lieu de le consolider (cela aurait pu être l’occasion de créer un réseau de transport à la demande événementiel qui a terme aurait pu mieux connecter ces villages à la métropole toulousaine, mais l’élargissement de l’échelle a court-circuité le projet).

[3Joëlle Brard quitte l’entreprise pour rejoindre deux maçons ayant participé à une formation d’ECOSTRATEGIE sur la construction durable.
Géraldine Bonnard, alors chargée de développement commercial, réalise qu’elle n’est pas à l’aise avec le trop grand niveau de liberté qui lui est laissé dans l’entreprise.
Grandies par leur expérience avec ECOSTRATEGIE, elles se réorientent avec une meilleure conscience de ce qui leur convient, tout en gardant contact avec la fondatrice.

[4La comparaison est intéressante car d’un côté l’ambition de croître trop vite a mené un projet dans une impasse, tandis que l’étrécissement d’ECOSTRATEGIE a permis de réduire ses coûts fixes et ses risques financiers.
Cela n’a évidemment pas eu que des avantages : sans local, ni employés relais sur place, toute mission qui éloigne sa gérante de la ville rose fait « disparaître » l’entreprise des réseaux toulousains. Néanmoins, en dématérialisant ainsi l’essentiel de ses activités, ECOSTRATEGIE prend sans le savoir une longueur d’avance.